dimanche 10 août 2008

3 - 4 : Tulum le sauvage.






Un autre bonus du couch'surfing ; pourvoir laisser son fardeau "à la maison" et partir pour de courte excursion aux alentours.

Je sauterais donc dans le collectivo pour Tulum, connu pour ses ruines mayas au bord d'une mer paradisiaque.

Deux jours de playa, la visite du site archéologique entrecoupée d'une soirée à me faire payer des coups par un bande de prof' de plongée apparemment en manque de présence féminine.

Probablement la plus belle plage sur laquelle je me suis prélassée jusque là. Les bulldozers n'y ont pas encore ravagée toute la jungle alentour et les investisseurs immobiliers semblent encore se concentrer sur Cancun et Playa del Carmen...

vendredi 8 août 2008

30/07 - 05 : Playa del Carmen et l'ultime repos del guerrero..





Finies les grandes villes, les murs imprégnés de chaleur, l'architecture coloniale, la comida locale, les balades aux marchés et la réalité de la culture mexicaine..
C'est à 4h du matin qu'Alejandro en bon gentleman latin m'accompagnera à mon dernier bus longue distance vers ma retraite de dix jours auprès des eaux transparentes des caraïbes.
Playa del Carmen est un merveilleux compromis entre la saturation de Cancun et peut être le "trop calme" des autres villages alentours..
Les deux 1ères nuits je ferais part de ce qui pourrait être un paradis au masculin : un dortoir de 16 filles où la chaleur insupportable les obligent à dormir en maillot de bain ou tenue d'Eve..
(Là je passe tout les détails de vomis, bordel, ronflements et lumière en pleine nuit qui rendent la vie à seize nenette in-vi-va-ble.)
Premières fiestas à la mexicana et de riches rencontres dont celle de Sandra la danseuse du ventre, Sriram l'indien, comédien à Bollywood et Yanna l'écrivain francaise dont la vie s'inspire largement des jolis contes de Walt Disney.
Après trois jours je quitterais ce petit monde pour une nouvelle aventure couchsurfing' dans la maison de banlieue d'Alejandro et Horacio, tous deux guides touristiques.
Que demander de plus? Je réside dans une charmante banlieue loin de la foule du centre de playa, je suis entourée de buenas ondas et trimbalée de toutes part par Horacio à la découverte de la région et de la culture Maya.
Le tout se payant uniquement avec cette monnaie impalpable que serait l'échange humain.
Légende : l'une d'entre elle fut ma maison à playa pendant une semaine. - photo "clichet" du latino aux reflets cocotiers.. - bain en couple - une cenotes - Horacio et moi même dans l'impossibilité de tenir la pause en raison de l'attaque de moustiques junglesques.


vendredi 1 août 2008

27 - 29 : Merida - Céléstin












Mérida est supposé être un bout du Mexique qu'il vaut mieux éviter.
En deux jours j'y ai trouvé des gens incroyables et même un véritable ami, des scènes du folklore mexicain qui me manquait jusqu'à présent et une excursion magique à Celestún.

Comme la première partie de ces expériences sont plutot d'ordres humaines, les photos sont destinées à décrire ce que peut être le paradis de Célestin.

Par des mots cela pourrait être...
Un bout de nature au sein duquel l'homme se fait tout petit et se consacre, le temps de cette courte incursion, qu'à la contemplation de la faune et la flore.
Le temps s'arrête et l'espace danse alors au rythme des vols gracieux de ces oiseaux exotiques. Puis l'entrée discrète dans cette forêt de Manglores, arbres aquatiques, trempant leurs imposantes racines dans un lagon rougeatre. L'ambiance y est la presque intime, et nous donne l'impression d'avoir pénétré dans un lieu sacrée.
Le conte se finit sur la plage adjointe à la réserve naturelle, bain de soleil, fruits de mer et encore de jolies rencontres méxico-espagnoles.

Légende : les barcos, les flamingos, les cormorans, hérons et manglares.